En région Pays de la Loire, les artistes protestent contre des coupes drastiques dans les subventions culturelles (-62 %), menaçant festivals, théâtres et projets locaux.
Après les Pays de la Loire, d’autres régions et départements envisagent de réduire drastiquement leurs moyens alloués à la culture. Une remise en cause majeure des politiques culturelles.
Le dispositif destiné aux jeunes de 18 ans coûte très cher et ne répond pas aux objectifs fixés de démocratisation des pratiques culturelles, estime un rapport publié mardi 17 décembre.
Le comédien réagit, dans une tribune au « Monde », à l’annonce faite par la présidente du conseil régional des Pays de la Loire, Christelle Morançais, de sa volonté d’économiser 82 millions d’euros dans le budget 2025 de la région, et 100 millions à l’horizon 2028, en amputant notamment l
A rebours des annonces fracassantes de Christelle Morançais, qui doit faire voter jeudi 19 décembre son budget 2025, des élus régionaux lancent un chantier de réflexion sur le financement du secteur et le nécessaire renouvellement des politiques culturelles.
Plus de trois cents structures de la Région des Pays de la Loire ont signé une lettre ouverte à Edouard Philippe, président d’Horizons et candidat à la présidentielle 2027, concernant la décision de coupes budgétaires dans le budget 2025, qui sera voté les 19 et 20 décembre.
Rares sont les collectivités qui conserveront en 2025 un budget suffisant pour préserver leurs politiques culturelles. A ce stade, certaines savent déjà qu’elles n’y parviendront pas. Les autres sont dans le flou.
Principal soutien financier du CNM par sa taxe billetterie, le spectacle vivant a voté contre le budget élaboré par l'Epic, qui prévoit des aides plus sélectives au secteur à l'avenir.
Un rapport publié par le ministre de la Culture analyse l’année 2023 du spectacle vivant, secteur par secteur. Concernant la musique, certaines tendances témoignent d’une dynamique positive, d’autres sont inquiétantes…
En Pays de la Loire, la lettre ouverte d’un collectif culturel a été adressée à Edouard Philippe. Signataire et directeur des Biennales internationales du spectacle (BIS), à Nantes, Nicolas Marc dénonce une politique que « ne renierait pas l’extrême droite ».