Arsud, la structure Etat-région qui soutient la structuration et le développement de la filière culturelle, a présenté le 17 juin 2025 le Pacte Transitions en scènes, pour accompagner les acteurs du spectacle vivant vers des pratiques écologiques.
Comment concilier protection de l’environnement et amour de la musique ? Les festivals, qui rassemblent chaque année de nombreux passionnés, travaillent à maîtriser leur impact. Mais la course au gigantisme complexifie la démarche dans un secteur en questionnement.
À l'occasion de Jour E 2025, Maxime Faget (Fairly), Valérie Martin (Ademe) et le DJ Fakear se venus livrer leur vision d’une culture en mutation sur un plateau Big média animé par Jean-Paul Deniaud, co-fondateur de Pioche! Magazine. Extraits.
Le quatuor anglais a réussi son pari vert en diminuant ses émissions de CO₂ de 59 %. Si l’initiative est imparfaite, elle montre l’exemple pour proposer, à l’avenir, des concerts plus éco-responsables.
Le groupe a annoncé lundi 3 juin avoir réduit l’empreinte carbone de sa tournée «Music of the Spheres» de 59 % par rapport à sa précédente tournée mondiale grâce à des méthodes innovantes mais insuffisantes.
Un patrimoine ancien mal isolé, de grands volumes à éclairer et à chauffer, des décors à transporter : le bilan carbone des opéras est lourd, et les moyens de l’alléger complexes. Illustrations à Rennes, Paris et Bruxelles.
La fabrication des cordes pour les harpes, les guitares ou les ukulélés produit des polluants éternels. Alors que certains musiciens s’inquiètent pour leur santé, les vendeurs se veulent rassurants et plaident pour une exemption de toute réglementation.
A l’occasion des Biennales du spectacle vivant (BIS) de Nantes, quinze organisations professionnelles du secteur ont présenté, le 18 janvier, un plan d’action pour la transition écologique élaboré en commun. Au total, quelque 4000 acteurs culturels vont être concernés par ces engagements.
Bretagne – Depuis quinze ans, le Collectif des festivals engagés pour le développement durable se démène pour réduire l’impact environnemental des quelque 450 manifestations qui font vivre la culture en Bretagne.
Avec le développement du numérique, les Français ont modifié leurs pratiques culturelles, délaissant les supports physiques comme les CD, DVD et livres papiers.