Plus de 200 millions d’euros. C’est le montant de la réduction du budget de la culture dans le projet de loi de finances de 2026 présenté par le gouvernement. Patrimoine, création artistique, Pass culture, audiovisuel… aucun secteur n’est épargné.
Pourquoi la ministre de la culture s’autorise-t-elle des mots violents pour qualifier le secteur dont elle est chargée ?
Des Russes antiguerre exilés en France organisent, le 16 octobre, un récital en soutien à un claveciniste et un saxophoniste, condamnés respectivement à huit ans et six ans de prison pour leurs positions anti-Kremlin.
Dans une tribune publiée par “Mediapart” le 6 septembre, des musiciens français et internationaux dénoncent la situation à Gaza, et appellent à “engager une réflexion collective sur les questions politiques”. Une initiative rare.
Portant au cœur leur territoire d’origine, certains artistes assument de tirer le filon de l’identité, pour le plus grand bonheur des collectivités.
La commission estime que la puissance des grands musées ou salles de spectacles réduit le ministère de la Culture à « peau de chagrin ».
Le théâtre revêt une importance primordiale au moment où "les gens souffrent d'être que sur leur portable pour échanger laconiquement", rappelle le directeur de Châteauvallon, à Ollioules, et du théâtre Liberté à Toulon.
Confrontés à une grande concurrence et à la précarité, de nombreux jeunes artistes sont contraints d’abandonner leur vocation après quelques années de galère. Ils finissent par choisir des métiers plus stables, parfois avec un sentiment de renoncement douloureux.
Après un discours en forme de plaidoyer pour le monde du spectacle vivant, Thomas Jolly a reçu un Molière d’honneur pour son travail sur les cérémonies olympiques.
La 36e Nuit des molières n’a que mollement et poliment protesté contre les coupes budgétaires pourtant dramatiques qui touchent le spectacle vivant. Multirécompensés : «Du charbon dans les veines» de Jean-Philippe Daguerre et «Le Soulier de satin» d’Éric Ruf.