"La musique, c'est un lieu de lien social", souligne le sociologue Jean Viard, qui défend une fête ouverte, joyeuse, parfois bruyante, mais bénéfique, notamment pour la jeunesse.
Rachida Dati, la ministre de la Culture, a dévoilé lundi son plan pour soutenir l’industrie musicale lors du lancement de l’événement parisien. Une aide en trompe-l’œil qui semble favoriser les grands acteurs au détriment des plus fragiles.
Une semaine d’événements consacrés au rayonnement international de l’industrie musicale française précédera la Fête de la musique. Une initiative du président qui divise les professionnels du secteur.
Refus du gigantisme, souplesse de l’organisation, programmation exigeante et ancrage local : les micro-festivals, privilégiant avant tout l’expérience spectateur, séduisent de plus en plus un public de connaisseurs.
Si les superstars américaines du genre ont longtemps attiré les spectateurs en masse, l’affiche de ces manifestations mêle aujourd’hui de jeunes talents méconnus et des noms du rock ou de la pop.
Le directeur artistique des cérémonies des JO de Paris espère monter ce nouveau spectacle pour le 14 juillet prochain et le jouer à des endroits différents chaque année, selon "ici Normandie".
La manifestation, dont les dates coïncideront cette année avec celle du festival officiel, programme 1 724 spectacles dans 139 lieux.
Un bonnet phrygien sur la tête, l’humoriste Caroline Vigneaux a désigné la ministre comme responsable des coupes budgétaires dans le secteur de la culture.
Un appel à candidatures à destination des étudiants vient d'être lancé et une partie du cursus sera inauguré dès septembre prochain.
Organiser un méga-concert devient plus rentable qu'une rencontre sportive. Les grandes enceintes sont d'autant plus plébiscitées par les fans qu'elles deviennent des « entertainment districts ».