Refus du gigantisme, souplesse de l’organisation, programmation exigeante et ancrage local : les micro-festivals, privilégiant avant tout l’expérience spectateur, séduisent de plus en plus un public de connaisseurs.
Si les superstars américaines du genre ont longtemps attiré les spectateurs en masse, l’affiche de ces manifestations mêle aujourd’hui de jeunes talents méconnus et des noms du rock ou de la pop.
Le directeur artistique des cérémonies des JO de Paris espère monter ce nouveau spectacle pour le 14 juillet prochain et le jouer à des endroits différents chaque année, selon "ici Normandie".
La manifestation, dont les dates coïncideront cette année avec celle du festival officiel, programme 1 724 spectacles dans 139 lieux.
Un bonnet phrygien sur la tête, l’humoriste Caroline Vigneaux a désigné la ministre comme responsable des coupes budgétaires dans le secteur de la culture.
Un appel à candidatures à destination des étudiants vient d'être lancé et une partie du cursus sera inauguré dès septembre prochain.
Organiser un méga-concert devient plus rentable qu'une rencontre sportive. Les grandes enceintes sont d'autant plus plébiscitées par les fans qu'elles deviennent des « entertainment districts ».
Alors que les prix de certains artistes s’envolent, Jérôme Tréhorel, le directeur du festival des Vieilles Charrues, dont l’édition 2025 se tiendra du 17 au 20 juillet à Carhaix (Finistère), lance un appel pour que les concerts redeviennent accessibles.
La mobilisation, initiée par le Syndicat des Artistes et Musiciens de Nouvelle-Aquitaine (SamNA-CGT), a réuni une petite centaine d’intermittents du spectacle devant le Grand Théâtre ce jeudi.
A partir de mercredi, le coeur de Montmartre battra au rythme du festival MaMA qui accueillera plus de 7.000 professionnels de la filière musicale, française et internationale, et le grand public en soirée. L'occasion pour les acteurs d'échanger sur les nombreux défis à relever.