Le magazine La Scène publie la première édition de l’annuaire « Culture et Développement durable », un outil de travail au service de toutes les organisations culturelles : lieux de diffusion, festivals, structures de création et de production, musées et lieux patrimoniaux…
Un collectif réunissant 60 festivals français lance l’action Drastic on Plastic, un dispositif d’accompagnement et de partage des savoirs ouvert à tous les festivals avec pour objectif d’abandonner enfin le plastique à usage unique. Il était temps.
En novembre dernier, l’organisation londonienne Julie’s Bicycle, pionnière du mouvement artistique mondial face au changement climatique, recevait le prix d’excellence professionnelle lors du WOMEX 2019, le salon international des musiques du monde.
Les initiatives se multiplient du côté des théâtres, notamment pour réduire la production de déchets.
De l’écologie jusque dans les concerts ? C’est tout le principe du mouvement Bye Bye Plastic, lancé en 2019 par Vivie-Ann Bakos (Blond:ish) qui dénonce les désastres du plastique. Jusqu’à présent, 1500 artistes de musique électronique y ont adhéré (#PlasticFreeParty).
Chaque année de nouvelles actions écolos sont mises en place aux Trans Musicales. Cette année, la collecte des mégots et l’interdiction des plastiques jetables.
Comment assurer une tournée artistique de manière éco-responsable ? Une deuxième vie est-elle possible pour les décors ? Peut-on réduire la consommation énergétique d’un parc de matériel technique ?
Cette semaine, 1 500 artistes issus des musiques électroniques ont décidé de bannir le plastique à usage unique de leurs concerts.
Gwen Sharp a beaucoup voyagé, passé huit ans en Pologne, programmatrice artistique à Katowice, capitale de la Silésie, avec passages à Belgrade et Budapest.
Des chercheurs de l’Université de Manchester entendent élaborer un modèle permettant aux groupes de musique de donner des concerts en limitant leur empreinte carbone. Massive Attack a accepté de leur servir de rats de laboratoires.