A Biarritz, dans le cadre du festival Le Temps d’aimer la danse, une journée de rencontres était organisée lundi 8 septembre autour de la transition écologique du spectacle vivant. Quelles sont les mesures prises par le secteur ? Comment envisager l’avenir ?
L'ouvrage du DEPS « Création et devenir des festivals en France », paru en juin dernier, analyse les résultats de l’enquête CoFEST ! sur le cycle de vie des festivals, marqué de plus en plus par l’engagement dans une démarche de transition écologique.
Alors qu’une nouvelle vague de chaleur touche la France, un rapport du Centre national de la musique, publié fin juillet, révèle que les événements culturels, déjà fragilisés économiquement, doivent aussi composer avec les aléas climatiques.
Une étude du ministère de la culture, publiée lundi 7 juillet, révèle que les arts visuels et le spectacle vivant pèsent pour 1,3 % des émissions de CO₂ de la France.
Arsud, la structure Etat-région qui soutient la structuration et le développement de la filière culturelle, a présenté le 17 juin 2025 le Pacte Transitions en scènes, pour accompagner les acteurs du spectacle vivant vers des pratiques écologiques.
Comment concilier protection de l’environnement et amour de la musique ? Les festivals, qui rassemblent chaque année de nombreux passionnés, travaillent à maîtriser leur impact. Mais la course au gigantisme complexifie la démarche dans un secteur en questionnement.
À l'occasion de Jour E 2025, Maxime Faget (Fairly), Valérie Martin (Ademe) et le DJ Fakear se venus livrer leur vision d’une culture en mutation sur un plateau Big média animé par Jean-Paul Deniaud, co-fondateur de Pioche! Magazine. Extraits.
Le quatuor anglais a réussi son pari vert en diminuant ses émissions de CO₂ de 59 %. Si l’initiative est imparfaite, elle montre l’exemple pour proposer, à l’avenir, des concerts plus éco-responsables.
Le groupe a annoncé lundi 3 juin avoir réduit l’empreinte carbone de sa tournée «Music of the Spheres» de 59 % par rapport à sa précédente tournée mondiale grâce à des méthodes innovantes mais insuffisantes.
Un patrimoine ancien mal isolé, de grands volumes à éclairer et à chauffer, des décors à transporter : le bilan carbone des opéras est lourd, et les moyens de l’alléger complexes. Illustrations à Rennes, Paris et Bruxelles.