Le 12 janvier 2013, Marseille devenait capitale européenne de la culture pour un an : 11 millions de visiteurs, 650 millions d'euros injectés. Quels bénéfices la ville et les communes aux alentours en ont tiré et que reste-t-il 10 ans après ?
Louis Aliot, maire RN de la ville, s’est enorgueilli du déplacement du festival Les Déferlantes dans sa commune. Mais les deux groupes de pop-rock, qui devaient s’y produire en juillet, s’opposent à ce déménagement.
L’annonce du déménagement du festival dans la ville dirigée par l’élu RN, Louis Aliot, avait suscité les protestations de plusieurs artistes. Les organisateurs cherchent désormais un autre lieu d’accueil dans les Pyréenées-Orientales.
Malgré le retour du public, le secteur du spectacle fait face à l’inflation des coûts énergétiques, aux hausses de salaires et aux baisses des aides publiques.
L’année ne fait que commencer, mais les prévisions budgétaires sont noires. Le coût de l’énergie s’annonce faramineux, y compris pour les musées européens. Derrière les solutions d’urgence s'annonce une nouvelle organisation.
La vente des billets se révèle variable selon les spectacles et les salles en cette fin d'année traditionnellement festive.
Rénové, l'ancien Gaumont Parnasse, rouvre ses 12 salles mercredi. La capacité du cinéma a été «fortement réduite» pour améliorer le confort.
Les ministres de l’intérieur, des sports et de la culture ont précisé les contraintes liées à la mobilisation des forces de l’ordre pour les JO, tout en assurant que les gros événements pourront avoir lieu.
Les organisateurs du festival rennais voulaient compenser en partie les émissions générées par l’événement musical.
Le collectif de 17h25, qui réunit le Théâtre du Châtelet, le Festival d'Aix-en-Provence, l'Opéra de Paris, l'Opéra de Lyon et le Théâtre Royal de la Monnaie, lance un grand projet de standardisation des décors.