Alors que les prix des places de festivals de musique et de concerts de stars ne cessent de flamber, l’inquiétude des spectateurs semble moins le coût du billet que le fait de réussir à décrocher un ticket, constate Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».
Pour entretenir une précieuse visibilité sur les réseaux sociaux, les artistes se mettent en scène dans des vidéos de quelques secondes, peu onéreuses et en phase avec leur public. Le clip, ancien format roi de la promotion, peine à suivre.
La 43e édition de la Fête de la musique se tient ce samedi dans tout le pays. Radio, streaming, réseaux sociaux, vinyle... Peu importe le mode d’écoute, l’âge ou le contexte, la consommation musicale atteint des sommets historiques dans l’Hexagone.
Le prix d’entrée aux principaux festivals de musiques actuelles (rap, pop, électro, rock) en France a augmenté de 60 % en dix ans, selon notre analyse. Pourtant, rares sont les structures à dégager des bénéfices.
Comme chaque année depuis 2022, l’Association pour le soutien du théâtre privé présente son baromètre « Les Français et le théâtre ». L’édition 2025 en constitue la quatrième vague.
Selon une étude de Médiamétrie présentée ce mercredi matin au Théâtre des Bouffes Parisiens, la fréquentation dans les salles privées se maintient. Et rajeunit.
Des programmations hip-hop et rien que hip-hop. Le phénomène est nouveau, alors même que le genre est le plus écouté en France. Ces prochains mois, ils seront cinq, pour partie portés par de très gros opérateurs. La concurrence s’annonce rude.
Refus du gigantisme, souplesse de l’organisation, programmation exigeante et ancrage local : les micro-festivals, privilégiant avant tout l’expérience spectateur, séduisent de plus en plus un public de connaisseurs.
Les spectateurs trouvent souvent une zone optimale où profiter d’un son plus clair et équilibré, dans les petites salles comme dans les grandes, peu importe le genre musical : pop, rock, électro, rap, métal, ou même classique.
À l'occasion du week-end culturel du Sommet pour l’action sur l’Intelligence artificielle (IA), Rachida Dati avait promis un appel à projets destiné à accompagner l'appropriation, par les industries culturelles et créatives, des intelligences artificielles.