Une étude Ifop-Weezevent témoigne du sentiment de manque et détaille les motifs d'inquiétude des Français, mais aussi leurs attentes pour participer de nouveaux aux activités culturelles et sportives.
Jusqu'au début de l'été, Soft Power s'intéresse aux conséquences et aux solutions face au Covid-19 dans la culture, les industries créatives, les médias et le numérique.
Ces travailleurs de l'ombre du secteur culturel demandent à être «remis en lumière» dans un communiqué.
Des recettes en milliards, des emplois par centaines de milliers et un pouvoir d'attraction qui ne se dément pas... Les annonces d'Emmanuel Macron doivent donner de l'air à un secteur aussi fragilisé par la crise que capital pour l'économie du pays.
Dans tous les pays, en raison de la fermeture des cinémas, théâtres, musées, salles de concert, la situation des acteurs de la culture est catastrophique. Mais les Etats ont répondu de façons très différentes aux appels à l’aide des créateurs.
Les films d’auteur ou de genre, à petit et gros budget, craignent pour leur avenir.
Attaché·e de presse, ingénieur.e du son ou agent de sécurité, c’est toute une industrie qui est en stand-by depuis le 17 mars, point de départ du confinement.
Maintenir le lien, offrir de la culture : c’est le mot d’ordre que se donnent les théâtres et les festivals, en ces temps de confinement.
En cette crise mondiale du coronavirus, Neil Young, Chris Martin de Coldplay, John Legend ou Matthieu Chedid pour ne citer qu'eux, invitent les fans confinés à s'évader devant des mini-concerts diffusés via les réseaux sociaux ou YouTube.
Deux sociologues anglais mettent en lumière ce qu’ils appellent un plafond de classe à partir d’une enquête minutieuse dans les métiers culturels de Londres : une barrière à la mobilité liée à l’origine populaire des personnes qui investissent ces mondes.