Avec 2460 manifestations annulées cet été, le manque à gagner pour les collectivités, les commerçants et, bien sûr, pour les organisateurs, menace l'emploi dans le secteur culturel et au-delà.
Face au coronavirus, les initiatives solidaires et engagées se multiplient, à l'instar d'une trentaine de petits ensembles qui se regroupent géographiquement ou par affinité artistique, pour créer leur propre festival.
Le secteur des musiques actuelles n'envisage pas de retour à la normale avant l'automne 2021. L'interdiction des concerts debout tandis que les rassemblements de plus de 5.000 personnes seront de nouveau permis à partir du 1er septembre, rend la reprise inenvisageable.
Le secteur culturel le plus touché par la crise sanitaire ne voit toujours pas comment il pourra redémarrer son activité.
La culture est-elle objet de consommation comme les autres ? Dans cette tribune, le collectif Païdeia plonge dans l’histoire des idées pour éclairer nos politiques culturelles et donner à penser demain, notamment au prisme des humanités numériques.
Malgré les résultats de quelques sorties françaises, les salles ne sont fréquentées que par un spectateur sur trois par rapport à la moyenne d'avant le coronavirus.
Sinistrées par la crise sanitaire, les entreprises du secteur enregistrent toujours un chiffre d’affaires proche de zéro et réclament des dispositifs d’accompagnement.
Un mois après la réouverture des salles, le nombre d'entrées est à environ un tiers de sa moyenne habituelle. Si ce chiffre est encourageant, les salles estiment qu'elles auront besoin de mesures supplémentaires de soutien pour s'en sortir.
La crise sanitaire mondiale a accentué les difficultés que connaît le secteur de la musique, en empêchant les concerts, principal gagne-pain des musiciens. La profession est obligée de se réinventer. Mais par quels moyens ?
Depuis quelques semaines, l’invasion d’artistes de tout poil sur les places, les marchés, au pied des immeubles, mais aussi dans les parcs, les jardins, prend une ampleur saisissante.