Depuis quelques semaines, l’invasion d’artistes de tout poil sur les places, les marchés, au pied des immeubles, mais aussi dans les parcs, les jardins, prend une ampleur saisissante.
Une étude initiée par France Festivals et présentée le 17 juillet livre une base de référence pour suivre les évolutions des festivals dans le sillage de la crise sanitaire.
Faute de films porteurs qui leur assureraient une rentabilité, 10 % des salles de l’Hexagone ont gardé porte close depuis le 22 juin.
De nombreux rendez-vous d’été ont été annulés, mais les festivals qui ont décidé de se maintenir inventent de nouvelles formes, d’Annecy Paysages à L’Île-de-France fête le théâtre à Cergy-Pontoise, en passant par Bussang et son théâtre du Peuple.
Pour beaucoup d’entre nous, la culture a joué le rôle de refuge pendant le confinement. Et pourtant, le secteur a fortement souffert de la crise. Impact économique, nouveaux usages… Voici les chiffres à retenir.
Touchée au cœur par la crise, la culture aura subi le confinement le plus long, suivi d’un déconfinement des plus progressifs. Comment absorber l’impact du choc et ses conséquences économiques à venir ? Comment continuer à faire vivre la culture ?
Une enquête du Département des études, de la prospective et des statistiques donne enfin des chiffres pour mesurer l’impact de la crise sanitaire. Le spectacle vivant et les musées sont les plus durement touchés.
La diffusion en ligne de leur prestation filmée permet aux artistes de renouer avec la pratique du concert et d’être rétribués.
Dans son étude publiée mercredi 27 mai, Festicket a interrogé près de 110 000 personnes au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et au Pays-bas pour savoir dans quelle mesure elles envisageaient de revenir assister aux évènements en direct.
Une étude Ifop-Weezevent témoigne du sentiment de manque et détaille les motifs d'inquiétude des Français, mais aussi leurs attentes pour participer de nouveaux aux activités culturelles et sportives.