Pour la première fois, une enquête sur les pratiques culturelles dans les territoires ultramarins a été réalisée, juste avant la pandémie mondiale. Publiée en octobre dernier, cette étude analyse en détail les habitudes culturelles en Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte et à La Réunion.
L’ouverture d’une friche culturelle baptisée Césure sur l’ancien campus de l’université Sorbonne-Nouvelle, prévue début 2023, illustre l’essor de ces sites hybrides.
Alors que des professionnels lancent une journée d’appel à des états généraux du cinéma, jeudi 6 octobre, la politique culturelle sur le sujet demeure aussi introuvable que problématique.
Pour faire face à la hausse du coût du gaz et de l’électricité et contribuer aux efforts de sobriété, musées, châteaux, cinémas, théâtres et salles de concerts essaient de réduire leur consommation.
De par leur nom, les journées du patrimoine éclipsent l’héritage culturel laissé par les femmes artistes. Activistes et chercheuses tentent de réhabiliter les œuvres produites par des femmes.
La culture occupe une place croissante dans les Plans de Développement Economique et Social de l’Unesco et les innovations de produits et de services sont au cœur des réflexions territoriales et nationales.
Les aides publiques risquent d’être réduites à terme en raison de la crise, selon Peter Keller, directeur général du Conseil international des musées.
A l’occasion du 76ème Festival d’Avignon (7-26 juillet), le ministère de la Culture, France Festivals et le CNRS ont présenté le 14 juillet un travail cartographique sur les festivals.
La hausse de tous les coûts, y compris les cachets des artistes, une concurrence exacerbée et une grave pénurie de personnels mettent en péril l’équation financière de ces événements culturels.
Énormes consommateurs d’énergie, les cinémas ont fait l’objet d’une étude du CNC sur leur bilan carbone. Les exploitants, volontaires mais fragilisés par une fréquentation en berne depuis la crise sanitaire, se voient confrontés au casse-tête des financements.