Dans la capitale des Gaules, la politique culturelle se bâtit pas à pas, quitte à prendre aux institutions phares de quoi aider de petites structures moins nanties.
Le secteur du tourisme a considérablement intégré la dimension durable, même s’il reste encore du travail en la matière. Notre planète meurt à petit feu, c’est une nécessité que de tout mettre en oeuvre pour la préserver.
Le gouvernement a annoncé des mesures pour mieux accompagner les enfants placés auprès de l'ASE. Mais quelle place y prend le souci de leur épanouissement ? C’est à cette urgence que s’attaquent les acteurs culturels.
Les dispositifs de soutien ont beau être réels, ils touchent peu les musiciens frappés par la crise. La faute à un système de subventions aussi généreux dans ses montants que méconnu et complexe dans ses modalités.
Pendant qu'une vingtaine de théâtres sont occupés en France pour protester contre la fermeture des lieux culturels, certains vont plus loin et organisent même des représentations malgré l'interdiction.
En souffrance depuis un an et le début de la crise sanitaire, la culture a su s’adapter. Un œil dans le rétro pour passer en revue ce qui est né de la situation.
Contraintes depuis un an, en raison de la crise sanitaire, de déplacer leurs représentations, les salles font preuve d’inventivité pour sauver les productions.
Le Centre national de la musique a mis en ligne fin février une « fiche pratique » intitulée « de la captation d’un spectacle à son exploitation ». Le document explicite les aspects juridiques du sujet, avec un zoom sur le cas spécifique du livestream.
Si les lieux culturels restent fermés en France, de nombreux spectacles improvisés ont lieu, afin de continuer à faire vivre la culture.
Des figures du stand-up ont décidé de se produire en Espagne, où beaucoup de restaurants et de lieux culturels sont ouverts. Et notamment à Barcelone, qui compte quelque 25 000 expatriés et où ces spectacles font salle comble.