Malgré les résultats de quelques sorties françaises, les salles ne sont fréquentées que par un spectateur sur trois par rapport à la moyenne d'avant le coronavirus.
Ce premier texte est très laconique. Un autre décret, attendu dans les prochaines semaines, apportera des précisions.
Le Pannonica, scène de jazz à Nantes, et ses tutelles se sont âprement affrontés depuis un an, conduisant à la démission du conseil d’administration et à une décision peu ordinaire.
Annoncé jeudi par Roselyne Bachelot, un grand raout de l'ensemble des professionnels du secteur festivalier doit se tenir à Avignon en septembre. «Libé» a mesuré le degré d'enthousiasme des premiers concernés.
Sinistrées par la crise sanitaire, les entreprises du secteur enregistrent toujours un chiffre d’affaires proche de zéro et réclament des dispositifs d’accompagnement.
Après avoir organisé son spectacle nocturne devant 12 000 personnes réparties en 3 tribunes, le Puy du Puy du Fou a finalement revu sa copie.
La ministre de la culture s’est rendue jeudi et vendredi à Avignon et à Arles, deux villes sinistrées par l’annulation de leur manifestation-phare cet été.
Un mois après la réouverture des salles, le nombre d'entrées est à environ un tiers de sa moyenne habituelle. Si ce chiffre est encourageant, les salles estiment qu'elles auront besoin de mesures supplémentaires de soutien pour s'en sortir.
Des mesures originales peuvent permettre de réorienter les financements publics au bénéfice du secteur culturel dans son ensemble et des artistes-auteurs en particulier, affirment, dans une tribune au « Monde », les spécialistes Grégory Jérôme, Nathalie Moureau et Dominique Sagot-Duvauroux.
Dans un contexte de crise sans précédent, l'établissement dirigé par Jean-Philippe Thiellay multiplie les initiatives en faveur de la filière musicale et des variétés.