Nombre d'auteurs ou musiciens portent un système de redistribution inéquitable. Une situation rendue plus criante par l'arrêt des concerts et la crise du Covid-19.
TRIBUNE - Un collectif de 400 écrivains, scénaristes, illustrateurs et dessinateurs, parmi lesquels Enki Bilal, Marie-Aude Murail, Delphine de Vigan, Tatiana de Rosnay ou Nicolas Mathieu, alerte, dans une tribune au «Monde», sur leur situation et les mesures de soutien à la culture qu’ils estimen
Indécisions politiques, flous juridiques, assureurs intraitables, fans pressés de se faire rembourser... Les organisateurs de festivals jouent leur survie. A l'horizon, de possibles concentrations, une refonte du modèle et une création amputée.
En 30 ans le PIB, ou en d’autres termes la richesse produite annuellement en France, a doublé.
La crise que le monde traverse est tragiquement ressentie dans tous les secteurs. Celui pour lequel nous travaillons, la danse, n’est pas épargné et les conséquences sont d’autant plus violentes qu’elles touchent notre essence même : l’interaction des corps.
Dans une tribune au « Monde », les concepteurs et organisateurs d’expositions, en grande fragilité économique du fait de l’épidémie de Covid-19, appellent les pouvoirs publics à la création d’un Centre national de l’exposition, sur le modèle du Centre national du cinéma, pour valoriser le
Du théâtre au cinéma, en passant par l'édition et la musique, le monde de la culture est particulièrement touché par la crise. Franck-Olivier Laferrère estime qu'il est possible néanmoins d'agir.
La tribune publiée la semaine passée dans « Le Monde », signée par des artistes aussi variés que prestigieux, a suscité un certain agacement, voire une véritable irritation.
La cascade de reports des spectacles, expositions, sorties de films ou de livres met en évidence une inflation structurelle de l’offre et une programmation de plus en plus verrouillée. Un système à repenser ?
Le 6 mai, Emmanuel Macron réunissait en visioconférence treize artistes et annonçait des mesures pour venir en aide au monde de la culture. PAR FABIENNE PASCAUD