Organisation d’événements, accompagnement de projets, opportunités professionnelles… Presque invisibles aux yeux des étudiants, les services Culture des universités accomplissent pourtant tout au long de l’année des missions qui gagneraient à être connues.
Entre menaces terroristes et sabotage, des mouvements réactionnaires s’en prennent une nouvelle fois au spectacle vivant, révélant par là même une porosité avec des partis dits « républicains ».
Dans un livret en forme de cri d’urgence, le principal syndicat d’employeurs du spectacle vivant appelle à une mutation profonde du secteur, autour notamment de la question écologique.
Indio (Etats-Unis) (AFP) – Rassemblant des centaines de milliers de spectateurs autour de scènes musicales avant-gardistes, au beau milieu du désert Californien, le festival musical de Coachella génère des conséquences nettement mois reluisantes: d'énormes quantités de déchets.
Les géants du divertissement se sont lancés dans une guerre économique pour le contrôle de la musique live. Le paysage français de ces grands événements peut en être rapidement bouleversé.
EXCLUSIF LES ÉCHOS – Le Centre National de la Musique pourrait récupérer 20 millions de ressources supplémentaires du streaming payant et gratuit, 6 millions des organismes de gestion collective et 6 millions de la contribution de la musique classique.
Le Syndicat National des Entreprises Artistiques et Culturelles (SYNDEAC) publie une feuille de route pour une décarbonation du spectacle vivant et appelle de ses vœux à une véritable « mutation écologique » du secteur.
La première organisation d’employeurs des scènes publiques exhorte à changer de modèle économique au nom de la nécessaire transition écologique.
Avec le projet « Festivals en mouvement », 50 évènements se mobilisent pour accélérer la transition vers des mobilités durables. Partout en France, de nouvelles manières de transporter le public et les artistes seront expérimentées dès la saison prochaine.
Dans un livret très attendu sur la mutation verte du secteur, le Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles dénonce la saturation de l’offre de spectacles et explique l’urgence à produire moins et mieux.