S'il prend toute la mesure de l'urgence sanitaire, le comédien rappelle que les métiers du spectacle et de la restauration ont fait l'effort de s'adapter avec le plus grand soin aux nouvelles règles.
L’instauration d’un couvre-feu de 21h à 6h à partir du samedi 17 octobre 0 heure pourrait porter un coup fatal aux cinémas et aux salles de spectacles et de concerts déjà très fragilisés par lac crise sanitaire.
Au-delà de l'accumulation des contraintes avec cette fermeture imposée à 21 heures, le moral n'y est plus pour ces professionnels traumatisés.
Dans une tribune que nous publions, le fondateur de l’Ensemble Correspondances pointe la “grande précarité” dans laquelle se trouvent les ensembles musicaux indépendants et demande aux pouvoirs publics des mesures rapides et efficaces pour soutenir un secteur délaissé par les politiques
Les directeurs de théâtre et les professionnels du cinéma tentent de trouver des solutions pour maintenir leur activité.
Penser un modèle plus durable et responsable pour l'ensemble de la société, telle est l'ambition du think tank The Shift Project.
Les principaux orchestres du pays sont parmi les bénéficiaires de ce plan d'urgence.
La somme que recevra l’institution dans le cadre du plan de relance semble hors norme par rapport aux autres lieux culturels.
Les initiatives de l’Etat en faveur des intermittents et des salariés ne profitent pas directement aux sociétés de production de spectacles, relève, dans une tribune au « Monde », le dirigeant de Fimalac Entertainment, qui demande des mesures pérennes et des réformes sur le long terme.
Le secteur culturel et créatif représente un poids économique majeur en France, en termes de valeur ajoutée – comparable à l’agroalimentaire, double de l’automobile –, d’emploi, de développement des territoires et, est-il utile de le rappeler, un fondamental social, démocratique et humain.