Pour beaucoup d’entre nous, la culture a joué le rôle de refuge pendant le confinement. Et pourtant, le secteur a fortement souffert de la crise. Impact économique, nouveaux usages… Voici les chiffres à retenir.
DÉCRYPTAGE Jamais les Français n’ont autant « consommé » de culture, selon une vaste étude diffusée vendredi, mais deux mondes se côtoient sans vraiment se croiser, celui du patrimonial et celui du numérique.
Pour son premier entretien depuis sa nomination le lundi 6 juillet, la nouvelle ministre de la Culture nous explique pourquoi elle a accepté ce poste, nous donne ses priorités. Et pousse même la chansonnette !
Au ministère de la rue de Valois, cette passionnée d’opéra devra prendre en charge un secteur gravement touché par la crise liée au Covid-19.
Touchée au cœur par la crise, la culture aura subi le confinement le plus long, suivi d’un déconfinement des plus progressifs. Comment absorber l’impact du choc et ses conséquences économiques à venir ? Comment continuer à faire vivre la culture ?
Selon une étude de deux chercheurs, la déprogrammation des manifestations culturelles estivales coûtera jusqu’à 2,6 milliards d’euros à l’économie française.
Les théâtres, musées, galeries, palais historiques seront éligibles à des aides, tout comme les organismes relevant de la musique live, du patrimoine ou du cinéma indépendant.
Une enquête du Département des études, de la prospective et des statistiques donne enfin des chiffres pour mesurer l’impact de la crise sanitaire. Le spectacle vivant et les musées sont les plus durement touchés.
Sinistré par la crise sanitaire, le secteur espère que l'expérience politique de la nouvelle ministre, passionnée d'opéra, sera un atout. Et que, dans ce contexte si délicat, elle gagnera ses arbitrages.
Arrivé en 2018 dans l’indifférence Rue de Valois, ce professionnel de la politique a eu du mal à exister médiatiquement. Nommé ministre délégué au commerce extérieur, il a été remplacé lundi par Roselyne Bachelot.