A la grande différence du théâtre, la discipline pâtit d’un manque de visibilité dû aux courtes exploitations d’œuvres qui méritent pourtant le détour.
Quand on repense au formidable ACORdo de la chorégraphe brésilienne Alice Ripoll, à la pièce de la Grecque Katerina Andreou ou à celle de l’Irlandaise Oona Doherty… Décidément, on en a vu quelques-unes, cette année, des œuvres de danse «contemporaines» vraiment super, non ? Ah pardon, c’est vrai, vous n’en savez rien, lecteurs, vous qui vous êtes évidemment abîmé la rétine sur les sites internet des théâtres pour voir où tournaient ces spectacles si immanquables et qui, à présent, vous demandez peut-être quelle sorte de perversité nous pousse à vanter parfois dans Libé les beautés de pépites que vous ne verrez jamais. Et si vous les avez vues, c’est sûrement au prix d’une motivation à récompenser sur le champ d’une légion d’honneur.
Car les pièces citées plus haut tournent un peu partout en France, peut-être, mais restent généralement...
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