De Beyrouth à Palerme en passant par Lyon ou Pékin, metteurs en scène, chorégraphes ou musiciens témoignent de l’impact de l’annulation des grands festivals français.
Pour faire face aux conséquences du coronavirus et à la précarité de leur statut, les artistes lyriques s’unissent et créent le collectif UNiSSON.
Le Sénat, à majorité de droite, va modifier le budget rectificatif. « A la différence du premier PLFR, on n’est pas sur un vote conforme » annonce à publicsenat.fr Albéric de Montgolfier, rapporteur général de la commission des finances.
Régime opaque, précarité, maigres compensations, absence de statuts : intermittents et artistes-auteurs ont du mal à être rassurés par les annonces récentes du ministre de la Culture.
Tous les domaines artistiques sont durement touchés par la crise sanitaire. Les premières mesures d’aide annoncées par l’État permettent une gestion partielle de l’urgence. Mais laissent l’avenir, même à court terme, de côté.
La Scène propose une "boîte à outils", un mini-site qui répertorie les informations essentielles que doivent connaître les intermittents du spectacle - artistes et techniciens - en cette période des plus complexes.
Si la majorité des grands événements culturels annoncent leur report, quelques manifestations cherchent un format adapté à des contraintes sanitaires encore floues.
Les festivals s'annulent à la pelle et tous se confrontent à une question cruciale : qui paiera la note ? Les organismes d'assurances, pour l'heure, renâclent à couvrir le désastre.
Suite à la déclaration du Ministre de la Culture sur Radio France concernant la possibilité des "petits festivals" à se tenir à partir du 11 mai, l'Union Fédérale d'Intervention des Structures Culturelles a rédigé un communiqué afin de savoir quelles sont les conditions à remplir pour correspondr
Avec la fermeture des librairies depuis mi-mars, l’urgence sanitaire s’ajoute à la crise sociale, administrative et économique qui ravage le monde de la bande dessinée depuis des années.