Tous les lieux culturels tentent sans cesse de renouveler leur public. À Nancy (Meurthe-et-Moselle), l'opéra de Lorraine est allé plus loin, en organisant des "opéras berceaux" pour les enfants de six mois à trois ans.
Face à une hausse des cas de Covid-19, les professionnels du secteur de la culture craignent de devoir à nouveau fermer leurs salles.
Les contaminations au Covid-19 sont en hausse en France samedi 25 décembre. De nombreux spectacles, dont les comédiens ont contracté le virus, ne peuvent plus être joués en France.
Après de nouvelles mesures de restriction touchant les théâtres et les cinémas en Belgique, plusieurs d’entre eux ont décidé de maintenir leurs portes ouvertes. Un mouvement de désobéissance civile qui recueille un soutien quasi-unanime – y compris chez ceux chargés de faire appliquer la loi.
La décision du gouvernement fédéral belge de fermer les théâtres, cinémas et salles de spectacles pour juguler la progression du variant Omicron est vivement contestée.
Les théâtres et opéras parisiens, contraints à l’improvisation voire à des annulations de représentations face aux cas de Covid, craignent de baisser le rideau.
Du Danemark à l’Angleterre en passant par la France, les annulations de mobilisations culturelles se multiplient. De nombreux musées sont fermés et des spectacles reportés, pour protéger le public ou faute d’artistes et de personnel.
Depuis le début de l’épidémie de Covid-19 en France, les établissements publics patrimoniaux ont été massivement aidés par l’Etat.
Il faut être plus prudent que jamais dans une période où il y a beaucoup d'incertitudes", a affirmé le Premier ministre belge pour expliquer les nouvelles restrictions, présentées comme "des mesures de précaution".
Trois jours après la détection d'un premier cas positif parmi ses personnels, l'institution a annoncé mardi l'annulation des prochaines dates de la comédie musicale.