Les nouvelles réductions budgétaires du ministère de la culture risquent d’ouvrir une crise sans précédent pour les institutions culturelles et les compagnies de théâtre et de danse.
Les restrictions budgétaires historiques annoncées fin février par Bercy et Matignon risquent de contraindre les institutions culturelles, déjà fragilisées par l’inflation, à réduire le nombre de leurs spectacles et à mettre en danger les compagnies qui s’y produisent.
Crise financière oblige, beaucoup de départements se replient sur leurs compétences obligatoires. La culture risque donc d’être sacrifiée sur l’autel budgétaire. A moins que les conseils départementaux fassent évoluer leur positionnement.
I Hate Models avait prévu de jouer dans la cité phocéenne, le 18 mai, quatre heures après un set à Leipzig, en Allemagne. “C’est une aberration écologique, économique et sociale”, a fustigé le festival pour justifier l’éviction de l’artiste.
Après l’annonce par Emmanuel Macron d’un projet de taxe sur le livre d’occasion, un collectif de professionnels de la filière du livre appelle, dans une tribune au « Monde », à en faire évoluer le modèle économique pour l’engager dans la transition écologique et enrayer la baisse de la lecture ch
Chaque volontaire reçoit une place pour un concert exceptionnel, organisé à Accor Arena le 29 mai, avec Macklemore, Franglish et Ronisia, après quatre heures de bénévolat.
Avec les seuls spectacles privés, la billetterie a réalisé près de 233 millions d'euros, et a vendu presque 8 millions de billets en 2023, un niveau jamais atteint. Mais les Jeux Olympiques viennent chambouler la donne.
Le son fait sa révolution avec l’audio 3D, ou binaural, qui permet une meilleure expérience cinématographique et musicale. Le lucratif format Dolby Atmos mène la danse, mais Google et Samsung poussent en cette année 2024 une technologie spatiale concurrente, l’IAMF, libre de droits.
La direction du festival breton reproche à la commune plusieurs décisions et menace de trouver un autre site. Près de 30.000 personnes s’opposent à cette perspective.
Le phénomène de « synchronisation » et le succès de la musique chantée en français expliquent la réussite des productions musicales françaises à l’étranger, selon une étude publiée par le Centre national de la musique.