TRIBUNE. Un collectif de quatorze acteurs des cultures urbaines appelle, dans une tribune au «Monde», à s’inspirer du hip-hop, né dans la rue et qui n’exclut personne, pour réconcilier une société française en morceaux.La culture hip-hop est née dans la rue.
Pierre Beffeyte, président de l’association Avignon Festival & Compagnies (AF & C), explique l’équation compliquée de la manifestation pour les artistes.
Les « testeurs » du dispositif, qui octroie 500 euros aux jeunes de 18 ans pour s’offrir sorties, biens ou pratiques culturelles, privilégient celles qu’ils connaissent. Les jeunes éloignés des études sont les plus durs à atteindre.
Les secteurs du patrimoine et du spectacle vivant peinent à attirer les jeunes.
Dans le « off » d’Avignon, les programmateurs de théâtre font leur marché parmi les 1 600 spectacles proposés. Ce qui demande d’être organisé, ouvert aux surprises, et de bien connaître son public.
L’anniversaire a coïncidé avec l’annonce d’une dizaine de nominations tardives et attendues.
Dans sa chronique, Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde », analyse l’explosion du nombre de festivals dans l’Hexagone, qui est passé en trente de 600 à 6 000.
Allez, osons les paris. Gageons que, lors des prochains Molières, La Famille Ortiz se retrouvera parmi les nommés.
Robin Renucci : « Une approche strictement régionale de la culture peut conduire à créer des “usines à rêves” »
Alors que les écrivains reçoivent en moyenne moins de 8 % du prix public d’un ouvrage, ils veulent imposer un taux minimum de 10 %.