Devant le recul des gros donateurs, les lieux culturels misent sur les entreprises plus petites et la souscription publique.
Rock en Seine, Main Square, Vieilles Charrues… Nombre de festivals généralistes, toutes tailles et régions confondues, peinent à remplir cet été. Si les raisons sont multiples, la tendance remet en cause le modèle économique global.
Explosion des coûts, surabondance de spectacles, sujets tabous, baisse des budgets des théâtres municipaux… Rentabiliser sa participation au festival d'Avignon même en remplissant à 100 % devient mission impossible.
Avec quelques mesures phare comme la protection des artistes-auteurs ou la gratuité des musées, le NFP propose une nouvelle définition émancipatrice de la culture, en écho à l’esprit du Front Pop’ de 1936.
De l’entre-soi, biberonné aux subventions, juste pour une élite ? Contrairement aux caricatures faites par le RN, le théâtre veut s’ouvrir à tous. Et dépense une énergie folle pour que ce lien ténu, mais fédérateur et populaire, ne s’étiole pas.
Après la peur, la réflexion. Entre introspection et projections, dix personnalités du monde de la culture s’expriment. Plus combatives que jamais.
Au lendemain du second tour des élections législatives, les syndicats du spectacle vivant préparent les projets à défendre auprès du prochain gouvernement.
Si le modèle français fait des envieux, le secteur chorégraphique se heurte aux contraintes budgétaires des lieux de spectacle, qui coproduisent moins et réduisent leur programmation. Les danseurs, eux, peinent à rester dans le système de l’intermittence.
Logement, sécurité, culture, transition écologique, finances locales... A quelques heures du second tour des élections législatives, les grands blocs partisans s'emploient à convaincre les citoyens hésitants.
Pendant une représentation de «Dämon» samedi, la metteuse en scène espagnole a performé des articles de presse avant d’alpaguer directement des journalistes. Le critique de France Inter, présent dans la salle et cible d’injures, a porté plainte.