Un «projet-test» a été organisé dans la capitale allemande minée par le Covid-19. 1000 personnes ont ainsi pu s'évader de leur quotidien au son de Tchaïkovski et Rachmaninov dans des conditions sanitaires strictes.
A l’approche d’un week-end de manifestations festives dans toute la France pour obtenir du gouvernement la réouverture des lieux culturels, « La Gazette » a interrogé des élus locaux confrontés à l’occupation de théâtres dans leur collectivité.
Au moins une soixantaine de salles françaises sont occupées par des étudiants et précaires protestant contre la politique culturelle et sociale du gouvernement.
Après un an de crise où ils se sont retrouvés en première ligne des sacrifices, les jeunes passent à l’action, dans des lieux de culture qui les accueillent souvent à bras ouverts. Leur histoire est en marche.
La ministre de la Culture était en Bretagne jeudi 18 mars. Pour le patrimoine à Dinan ; pour une table ronde avec divers acteurs culturels à Rennes. L’occasion de l’interroger sur les festivals pour lesquels elle envisage toujours « sauf détérioration majeure », « des assouplissements ».
La ministre de la culture, qui a révélé avoir été déclarée positive samedi, avait multiplié les rencontres avec les artistes les jours précédents. Sans s’affranchir des règles de prudence, selon son entourage.
Dans la capitale des Gaules, la politique culturelle se bâtit pas à pas, quitte à prendre aux institutions phares de quoi aider de petites structures moins nanties.
Face au "flou le plus total" auquel elle est confrontée, la célèbre manifestation théâtrale se demande si elle pourra se tenir en juillet et réclame de l'aide aux pouvoirs publics.
À la tête de l’Institut de santé globale à l’Université de Genève, Antoine Flahault rappelle que les études mondiales, les concerts tests, et même des événements interdits comme la rave fin 2020 en Bretagne montrent que les lieux de culture ne sont pas contaminants si les mesures sont respectées.