Rencontre avec José-Manuel Gonçalvès, pour tenter d’en savoir plus sur les recettes du succès du 104. L’établissement culturel, ouvert en 2008 sur le site de l’ancien Service municipal des pompes funèbres, dans le 19e arrondissement, fait aujourd’hui figure de référence.
Nommé en 2010 à la tête du Centquatre Paris, José-Manuel Gonçalvès n’a connu que deux heures de doute. C’était au début de l’aventure. Seul dans la nef qui relie les rues Curial et d’Aubervilliers, il a contemplé l’espace vide. Puis cet hyperactif, qui ne dissocie pas l’action de la réflexion, s’est mis au travail, entraînant à sa suite une équipe qui, dit-il, « articule conviction et expertise » et partage bien sûr son credo : « Le 104 est un lieu de vie et de ville. »
Un trait d’union original
Sous son impulsion, la ville est effectivement entrée dans les murs. On vient au Centquatre pour des raisons...
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