
Comme le disait Nicolas Sarkozy : « mourir, c’est pas facile ». Quand nos chanteurs préférés partent, c’est toujours trop tôt pour nos petits cœurs meurtris. Mais parfois, quelques mois ou quelques années plus tard, au détour d’une allée de notre disquaire préféré, on tombe sur cet objet étrange : l’album posthume. Véritable auberge espagnole de l’industrie musicale, il peut tout autant se révéler un hommage touchant que faire mourir l’artiste une seconde fois. Alors un album posthume, comment ça marche, qui prend la thune, qui a le droit ? On vous raconte tout, tout de suite, maintenant, et même plus.
Dans la catégorie « albums posthumes », c’est un peu comme dans la catégorie « albums pas posthumes » en fait, il y a à boire et à manger. Du bon, du très bon, du médiocre, du fan service, du...
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