Avoir pour métier sa passion peut mettre sous pression.
«En arrivant il y a trois ans à Paris dans une école supérieure de musique, j'ai ressenti une pression beaucoup plus forte. Mon corps a pris cher, entre les tendinites et les tensions. Mon rapport à l'instrument est devenu beaucoup plus conflictuel. On effectue des gestes très répétitifs, dans des positions pas forcément naturelles. On n'est pas formés à prendre soin de notre corps quand on est musicien.» Alors qu'elle n'est qu'en début de parcours, Christelle, étudiante flûtiste de 21 ans au Conservatoire de Paris, résume la situation. Selon une étude...
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