Les Nuits de Fourvière, la Biennale de la danse, Montpellier Danse et le Printemps des comédiens ont préparé des éditions sous contraintes.
« On s’est préparé pendant toute l’année et on est prêt. On a fait notre boulot, qui est d’organiser ce festival en le calibrant au plus juste par rapport au contexte sanitaire. Qu’il dure trois jours ou plus longtemps, quoi qu’il se passe, il fallait et il faut tenir le poste. » Ton joyeusement guerrier, Dominique Delorme, directeur des Nuits de Fourvière, manifestation pluridisciplinaire historique créée en 1946, à Lyon, aborde la soixante-quinzième édition, à l’affiche du 1er juin au 30 juillet, dans la bonne humeur.
« C’est une année particulière, insiste-t-il. On est passé d’une moyenne de 140 représentations d’une soixantaine de productions dans douze lieux partenaires à soixante-six représentations de trente-cinq pièces dans quatre lieux, dont nos deux théâtres gallo-romains, cœur de la manifestation. Mais le spectacle doit continuer à vivre, et il était hors de question d’enchaîner deux ans sans festival. »
Théâtre, musique, danse, cirque, opéra, les Nuits de Fourvière mettent envers et contre tout le paquet. Des noms qu’on ne présente plus, comme celui du metteur en scène belge Guy Cassiers ou de la troupe également belge Tg Stan, mais aussi...
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