Lancé par la ministre Rachida Dati, le «Printemps de la ruralité» réunira prochainement le secteur culturel. Installés depuis trente ans dans des villages, trois acteurs engagés racontent leur travail et leur lien avec les habitants, longtemps oubliés des politiques.
Spécialiste du livre de seconde main, le sociologue Vincent Chabault réagit à la piste évoquée par Emmanuel Macron afin de soutenir le secteur de l’édition.
A la demande du Premier ministre Gabriel Attal, la députée (LR) de Haute-Savoie Virginie Duby-Muller mène une mission sur l’ingénierie culturelle en milieu rural. Un travail en lien avec le Printemps de la ruralité lancé par la ministre de la Culture Rachida Dati.
L’exposition « Metal. Diabolus in musica » à la prestigieuse Philharmonie de Paris contribue à l’évidence à accroître la notoriété et la légitimité de la musique metal (entendue au sens large).
Des économies sont programmées dès l’été prochain pour retrouver l’équilibre alors que les collectivités et le ministère de la Culture cherchent des solutions.
Dans l’établissement ardennais, à l’initiative d’un enseignant, les élèves volontaires s’initient avec bonheur à la pratique scénique, qu’Emmanuel Macron entend étendre au niveau national.
Au lendemain de son congrès réuni à Marseille, la Fédération nationale des collectivités pour la culture (FNCC) a désigné le 13 avril Jean-Philippe Lefèvre comme nouveau président. Son mandat s’annonce chargé de dossiers déterminants pour l’avenir des politiques culturelles.
Le 4 avril dernier, le ministère de l’économie annonçait des baisses conséquentes de subventions pour des grandes institutions théâtrales, musicales et muséales. Une mise en péril d’un service public.
Emmanuel Macron a annoncé vouloir mettre en place une contribution sur les ventes d’ouvrages de seconde main. Ce qui risque de pénaliser les foyers les moins aisés et les étudiants, sans vraiment donner d’oxygène aux auteurs.
Interdit de publicité sur les grandes chaînes, le livre a désormais écran ouvert. Une décision contestée par nombre d’éditeurs, qui y voient un cadeau fait aux seuls écrivains déjà installés. Non sans raison.